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Editorial du bulletin n° 41 - mars 2018
Présidente nouvellement élue, je vous remercie de la confiance que vous m’avez accordée. Notre itinéraire franc-comtois est très fréquenté, par des pèlerins venant parfois de très loin, de l'Uruguay en décembre dernier, par exemple ! C’est surtout un passage pour les amis pèlerins allemands et alsaciens notamment. Ces pèlerins ont tous en commun d'aller plus avant, souvent jusqu'à Compostelle en Galice avec l'envie de vivre simplement pour se retrouver, aller à la rencontre d'eux-mêmes. Le Chemin de Compostelle a le vent en poupe : il a été classé en 1987 "Premier itinéraire Culturel Européen" par le Conseil de l'Europe, et classé en 1998 au patrimoine mondial de l'Humanité par l'UNESCO. Au niveau local aussi, il est valorisé dans le développement du tourisme en itinérance du département de la Haute- Saône. Il attire de plus en plus, à nous de le rendre accessible, par notre aide, au plus grand nombre. L'association et ses adhérents sont présents pour accompagner les pèlerins matériellement et spirituellement selon leur demande. L'af-ccc est relayée sur le parcours du Chemin par tous les hébergeurs qui forment une véritable chaîne d'accueil. Ces relais d'hébergeurs jacquaires ou religieux sont actifs et motivés, les pèlerins en font un retour élogieux. Je veillerai à la poursuite du fonctionnement de notre grande association selon les valeurs du Chemin ; à savoir l'entraide, la tolérance, l'ouverture et le respect des Autres.
Danielle Brun-Vaunier, présidente de l'af-ccc |
Éditorial du bulletin n° 40 - décembre 2016
Tant de choses à partager… La plupart des marcheurs, des
pèlerins, de retour de Saint-Jacques de Compostelle ou d’une période sur un
chemin compostellan l’affirment : ils
ne sont plus les mêmes au départ et à l’arrivée. Certains disent avoir (re)découvert
la nature, l’hospitalité…. D’autres se sont ouverts aux autres, ont relativisé
leurs problèmes… Ces témoignages de retour sont bienvenus lors des permanences mensuelles. Ils seront également appréciés
lors du week-end de mi-janvier prochain à l’abbaye Saint-Colomban à Luxeuil. Vous
êtes tous conviés à participer. En effet, le "chemin", c’est un
itinéraire bien balisé, des haltes réconfortantes, ce sont aussi des expériences
et une culture humaine qui s’enrichissent de l’échange. De culture et de patrimoine il sera
également question le 15 janvier. Le marcheur peut être sensible à l’Histoire
vivante qui s’écrit sous nos yeux avec fresques récentes, vitraux contemporains,
cairns acrobatiques… ; Et il ne peut ignorer l’Histoire d’hier…. L’Af-ccc
a décidé de mettre en avant cette dernière,
pan incontournable de la culture jacquaire, avec une conférence-diaporama et
musicale qui vous dira tout de l’art roman et sa symbolique sur les chemins de
Compostelle. Je souhaite que ce moment marque
un nouveau départ pour la “commission histoire” de notre
association, en sommeil depuis plusieurs années. C’est d’ailleurs le souhait de
notre présidente d’honneur, Brigitte Lyautey. Bonnes volontés intéressées,
n’hésitez pas à vous manifester ! Nous n’oublions cependant pas les
bases de notre activité : accueil des partants, facilitation de la
traversée paisible de notre région grâce au maintien d’un réseau hébergement
accueillant, aux guides actualisés (avec - nouveauté ! - la mise à disposition à partir de notre site
internet de cartes téléchargeables pour GPS). Ces points sont le fruit d’un
travail de fourmi, accompli par des bénévoles actifs, mais où de nouveaux
volontaires sont bienvenus. En attendant le plaisir de nous
retrouver à Luxeuil en janvier, puis lors de l’assemblée générale le samedi 4
février à Marnay, et lors des nombreux rendez-vous préparés par des adhérents
dévoués tout au long l’année, je vous souhaite, au nom de l’Af-ccc, une bonne
fin d’année et un bon départ 2017. Notre association compte sur vous tous,
adhérents et partenaires, pour une année riche de bonheurs partagés, les pieds
bien ancrés dans la réalité mais avec toujours quelques étoiles de rêve dans la
tĂŞte.
Nicole Blivet, présidente de l'Af-ccc
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Éditorial du bulletin n° 39 - décembre 2015
En marche !
De nombreux motifs de satisfaction ont émaillé l’année de notre,
de votre association : des adhérents fidèles, des pèlerins nombreux sur le
chemin franc-comtois, un nombre d’hébergeurs en hausse, des guides rendant les
services souhaités aux marcheurs, l’innovant projet des QR Codes arrivé à son
terme. Mentionnons également la belle fresque de Manola recolorée, des
bulletins semestriels attrayants, des marches mensuelles enjouées, des
partenariats constructifs, etc. Tout cela mis en œuvre ou encouragé par un
conseil d’administration actif et compétent. Pourquoi, alors, mon
clavier bute-t-il sur l’écriture de cet éditorial ? Peut-être à cause de
la pesante actualité ? Du reflexe archaïque : « J’ai raison, t’as tort, et tu
vas voir ta gueule... », qui prospère et qui s’épanouit en terrorisme
sous couvert d’idéologies perverties ? Y-aurait-il, accessibles à notre petite mesure, des remèdes à la tentation du repli sur soi et de l’intolérance induits par cette
violence ? Tentons la musique
qui sait si bien consoler et faire espérer. A ce sujet je vous recommande “Da
Pacem Domine”, une prière pour la paix composée par Arvo Pärt après les
attentats du 11 mars 2004 à Madrid. L’Histoire bégayant tragiquement, ce
message, toujours d’actualité, accompagne notre pensée envers les victimes du
13 novembre à Paris et celles de tous pays, victimes d’une haine fanatique… En tant que membre, croyant ou non, d’une association jacquaire, laissons à la légende l’apparition du “Santiago Matamoros” à la bataille de Clavijo en 844, et restons sur la symbolique actuelle d’un Saint-Jacques porteur
de coquille signifiant la vie et l’amour, sur un chemin vivant de liberté et de
rencontres. Continuons ainsi Ă
pérégriner vers le chemin des Etoiles, vers Saint-Jacques, ou sur d’autres
voies de pèlerinage, selon nos convictions humanistes, spirituelles ou
religieuses. Marcher, (la marche, moyen de transport non polluant, modeste
contribution à la lutte contre le réchauffement climatique !), c’est être
debout, c’est l’union du corps et de l’esprit, la mise en mouvement de la
pensée, le déplacement du point de vue et donc l’ouverture sur le paysage et,
surtout, sur son prochain…. Et allons de l’avant ! « Ne crains pas d’avancer
lentement, crains seulement de t’arrêter », met en garde Arthur
Schopenhauer. Pas de crainte sur ce dernier point, l’Af-ccc a de nouveaux
projets en tête. Les membres du conseil d’administration et moi-même vous les
dévoileront lors de l’assemblée générale, le 30 janvier prochain, à laquelle nous
vous espérons très nombreux. Je vous souhaite de belles fêtes de fin d’année et vous
présente tous mes vœux pour 2016.
Nicole Blivet, présidente de l'Af-ccc |
Éditorial du bulletin n° 38 - juillet 2015
Au sujet de la communication associative
Le bulletin
semestriel, le site internet, les QR Codes informatifs, les rendez-vous
immuables (assemblées générales, permanences, randonnées mensuelles), ou plus
occasionnels (randonnées des partenaires, “soirées hébergeurs”, expositions,
conférences) marquent le souci permanent de communication externe et
interne de l’Af-ccc.
Nous pouvons encore progresser, notamment sur ce dernier
point. En effet, les lieux communs au sujet de Compostelle veulent qu’on
vante “l’esprit du chemin” et le plaisir des rencontres. Mais à y regarder de
plus près, l’échange sincère avec l’autre reste difficile. L’intérêt
commun de notre association autour du cheminement vers Saint-Jacques n’empêche
malheureusement pas, parfois, des négligences, des maladresses. Souvent bien
involontaires. Le manque de disponibilité, les soucis de santé, peuvent
conduire à se renfermer dans sa “coquille”. La complexité des rapports
humains fait que l’on peut avoir des sympathies ou des antipathies pour l’un ou
l’autre. Ou ne pas être en accord avec les orientations de l’association, ou ne
plus s’y sentir à sa place. Et que tous ces paramètres peuvent varier au fil du
temps.
Au cours des années, c’est
ainsi que des administrateurs quittent le conseil sans que l’on comprenne
vraiment leur départ. L’on respecte la décision affichée en ayant la crainte de
paraître indifférent, ou l’on questionne en ayant peur de paraître
intrusif, et en n’étant finalement à l’aise ni dans l’un ni dans l’autre
cas ! Chez les adhérents, c’est au détour d’une conversation que l’on
apprend bien tardivement qu’un tel est malade ou qu’il a perdu un proche…ou
c’est ainsi que je reçois un message à la limite du correct pour n’avoir pas
averti tel membre du décès d’un autre membre.
Les soucis individuels, la
pudeur, le soin de “ne pas faire d’histoires”, la lassitude, peuvent bien sûr
expliquer certains Ă©loignements. Et toutes les raisons sont respectables. Mais
il faut que chacun le sache : la cordialité, l’amitié, la solidarité, sont
aussi importantes que l’intérêt commun pour ce sujet qui nous lie :
Saint-Jacques de Compostelle et ses chemins. Chacun est et sera toujours
bienvenu à l’Af-ccc et peut à tout moment joindre et re-joindre la très
large base d’adhérents et/ou de membres du conseil d’administration fidèles
depuis de longues années.
Bon été à tous !
Et bravo Ă tous ceux qui
font vivre le chemin franc-comtois ! Les témoignages de satisfaction de
pèlerins affluent et il faut savoir qu’il y avait + 30% de fréquentation
mi-juin par rapport à 2014 (merci pour le comptage effectué par Denis, un
habitant de Marast).
Nicole Blivet, présidente de l'Af-ccc |
Éditorial du bulletin n°37 - décembre 2014
Un chemin de libertés
Le
chemin de Compostelle en Franche-Comté - voie non historique, non reconnue
comme patrimoine régional, européen ou mondial, mais validée par le Conseil
général de Haute-Saône, le Territoire de Belfort et l’IGN (Institut National de l’Information Géographique
et Forestière) - a l’extrême privilège de rester, hors
marchandisation et fréquentation excessives, un itinéraire discret,
accueillant, où le marcheur a tout loisir de profiter de l’instant selon
sa propre sensibilité. Notre association y veille de son mieux. Elle
affirme sa laïcité afin que chacun puisse vivre sa foi, ses doutes, ses
interrogations, ses non croyances comme il l’entend. La tolérance est un mot
qui nous tient particulièrement à cœur. Il nous importe également que le
chemin de Compostelle soit un lieu privilégié où la marche est aussi démarche.
Il ne faudrait pas penser que les nouvelles technologies, site internet,
numérisation du chemin par exemple, détournent systématiquement le pérégrinant
ou les administrateurs de l’Af-ccc d’objectifs qui sont
toujours respect d’autrui et solidarité. De même que le pèlerin actuel ne
marche pas avec lourde cape de feutre et calebasse en guise de gourde, il faut,
à notre sens, que nous nous adaptions au marcheur qui vérifie l’itinéraire sur
son GPS et communique par mail. Par ailleurs, rien n’empêche de progresser à sa
guise, avec boussole, en se fiant à son sens de l’orientation et en
dormant à la belle étoile... Nous considérons ainsi que le cheminement ne
peut être assimilé à une simple balade touristique, quel que soit le
marcheur : pèlerin usant humblement ses semelles sur le sentier, ou
randonneur n’exhibant son credential que pour bénéficier d’hébergement à prix
modique ou se faire un trip jacquaire exotique. Savoir apprécier les paysages
francs-comtois et les charmes du patrimoine, goûter à leur juste valeur
les rencontres avec les habitants, hébergeurs et autres pèlerins, accepter les
inévitables passages goudronnés ou boueux, se contenter de commerces peu
nombreux, tout cela - grands bonheurs et petits désagréments - doit
permettre à chacun d’augmenter son esprit de partage, son sens de l’acceptation
et de l’adaptation. Marcher sur un chemin de Compostelle, c’est en effet être
autant de plain-pied avec une très terrienne réalité, que « Tenter, sans force et sans armure, d'atteindre l'inaccessible
étoile » comme le chantait Jacques Brel dans “la Quête”. Malgré les douleurs bien réelles et le poids de nos pensées parfois moroses,
c’est cette recherche d’ouverture, d’authenticité, cette quête de sens,
cette (re)découverte de valeurs essentielles, mais aussi ce plaisir de
l’instant, ce voyage libre et léger, que nous pouvons nous souhaiter en
2015, en toute réciprocité.
Pas seulement sur un chemin de Compostelle mais
sur le chemin de la vie. Ultreïa ! Nicole Blivet, présidente de l'Af-ccc
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Éditorial du bulletin n°36 - juillet 2014
Le chemin de Compostelle en Franche-Comté a 10 ans. Déjà ! Après les
travaux préparatoires menés par les initiateurs de l’Af-ccc, le tracé
franc-comtois fut balisé en 2004, juste à temps pour la première édition
d’Europa Compostela, cette marche européenne convergeant vers Santiago quand le
25 juillet, jour de la saint Jacques, coĂŻncide avec un dimanche. Depuis,
régulièrement entretenu par les bénévoles de l’Af-ccc en lien avec les associations
de marche locales, le “chemin” franc-comtois est devenu une référence. Pour
preuve, les nombreux messages de félicitations reçus, concernant le balisage et
l’accueil. Faut-il alors voir comme une reconnaissance envers le travail
accompli, la décision du Conseil général de Haute-Saône de prendre désormais en
charge l’entretien et, dès 2015, le balisage du chemin de Compostelle dans le
département ? Nous n’en doutons pas. D’autres voies seront également du
ressort de l’instance départementale, comme les GR et la via francigena, mais
il est Ă noter que le chemin de Compostelle, avec environ 200 km, est, de
loin, le plus long de Haute-Saône. Nous faisons confiance aux trois Unités
territoriales qui prendront le relais de nos bénévoles menés par Daniel Blivet,
Charles Milhé, Manola Salvador, Philippe Dumont, Jacques Sutter, Madeleine
Griselin, Danielle Voilly. Ceux-ci sont loin cependant d’avoir terminé leur
tâche, puisqu’ils ont à cœur de transmettre un chemin en excellent état avant
de passer le relais. Charge à eux également d’informer, former, accompagner les
nouveaux responsables professionnels, et de garder un Ĺ“il attentif afin que
toute anomalie soit rapidement détectée et corrigée. Jacky Turinetti, le
correspondant de Codérando pour le Conseil général du Territoire de Belfort,
veille toujours, lui, à la bonne tenue du balisage “terrifortain”. Quant au
Doubs et au Jura, ils restent pour l’instant de la responsabilité exclusive de
l’Af-ccc. Parmi nos
activités associatives, notons le succès des randonnées mensuelles qui
permettent aux adhérents de se retrouver dans la bonne humeur pour découvrir la
Région. C’est un bon entraînement à la marche vers Compostelle, c’est
aussi un bon moment de partage quand on en revient, et que l’on souhaite prolonger
l’esprit jacquaire spécifique au “chemin”. Cette même ambiance amicale
règne lors des permanences mensuelles à Besançon et Héricourt, très
fréquentées, avec de nombreux projets de départ. Un
passage régulier de pèlerins allemands et alsaciens a également été constaté
dans la Région dès le mois de février 2014. Arrivant à l’entrée de Villers-la
Ville ceux-ci peuvent désormais faire une pause sur un magnifique banc
d’acacia, avec vue sur le clocher comtois du village. Cet aménagement, fruit de
contacts agréables entre le maire, Edmond Brepson, notre association, et un
habitant habile de ses mains, fait partie des partenariats efficaces qui
ont toujours le mĂŞme but : Favoriser tout le bien-ĂŞtre que les
pèlerins et marcheurs peuvent attendre du chemin de Compostelle.
Puissent
les adhérents et les partenaires de l’Af-ccc continuer à partager ce
même objectif, pendant la prochaine décennie et les suivantes !
Nicole Blivet, présidente de l’Af-ccc
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Éditorial du bulletin n°35 - décembre 2013
En marche sur le chemin de l’Af-ccc
La vie de
votre, de notre association a tout d’un chemin de Compostelle : on espère
des moments agréables et atteindre les objectifs que l’on s’est fixés…. Où en
sommes-nous, sur ce “way” de l’Af-ccc depuis le bulletin de l’été
dernier ? Parmi les
incontournables du “chemin”, les rencontres. Des plus plaisantes : que de
bons moments passés lors des permanences, lors des balades et de la semaine de
marche sur le chemin pèlerin du Morvan, et avec les bénévoles de nombreuses
associations amies. De plus, l’Af-ccc fait maintenant partie de la grande
famille de la FFACC (Fédération française des associations de saint Jacques de
Compostelle). Une sympathie s’installe, des liens forts se créent. Cheminer,
c’est aussi aller avec mesure et sans découragement : nous avons tenté un
détour, hors de notre sentier habituel d’autofinancement, par le Conseil
régional, et avons repris rapidement notre “droit chemin”, celui de la
modestie. Chacun sait en effet que le pèlerin avisé doit prévoir son parcours
en fonction de son budget et ne pas trop compter sur une éventuelle générosité
extérieure ! Il arrive
aussi, et souvent, que l’effort soit récompensé. Ainsi, la réédition de nos
guides, après les longues heures passées à ses actualisations, rencontre un
succès légitime auprès des marcheurs qui traversent notre belle région. Ainsi,
la proposition aux hébergeurs de tampons personnalisés à apposer sur les
credentials des pèlerins accueillis, a reçu un accueil chaleureux. Voyez aussi
comme le site internet et le logotype de l’Af-ccc ont de belles couleurs toutes
neuves. Le plaisir d’un cheminement vers Compostelle, c’est encore prévoir les
Ă©tapes futures : une nouvelle bretelle, dans le Jura, permettra
prochainement de passer par Dole, ville historique aux possibilités
d’hébergement variées. De nouvelles installations de confort pour les pèlerins
traversant la Franche-Comté sont à l’ordre du jour, de même qu’un accès aux
nouvelles technologies. Toutes
ces activités, menées avec constance et application, font partie des petits
bonheurs que, comme tout pèlerin, nous savons apprécier à leur juste valeur.
Alors, foin des cailloux qui irritent les orteils, le soleil brille dans le
cœur, et la sente se fait douce sous le pied !
Pour
cette fin d’année et pour la nouvelle qui arrive, je souhaite à tous –
adhérents fidèles, amis et partenaires, sans qui notre association et le chemin
franc-comtois ne seraient pas ce qu’ils sont – des moments satisfaisants, dans
la bulle du Chemin et dans le vie quotidienne, qui permettent de croire que,
malgré les difficultés et les peines, l’espoir et le bonheur sont toujours
possibles. Nicole Blivet, présidente de l’Af-ccc
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